En France, comme dans beaucoup d’autres pays du monde, des mesures restrictives visant à limiter la contagion du Covid-19 ont imposé la fermeture de presque toutes les activités : restaurants, salles de sport, fleuristes… tous en isolement forcé chez eux, pour freiner la progression de ce terrible virus. La fermeture de nombre de ces activités ont entraîné un énorme gaspillage de denrées périssables ; certains gérants ont toutefois décidé de ne pas jeter leurs produits à la benne, mais de les mettre à disposition avant qu’ils ne périssent pour rien.

Les fleuristes sont également fermés, car les plantes et les fleurs ne sont pas une denrée de première nécessité, ainsi les personnes menant ce genre d’activités se retrouvent avec beaucoup d’invendus. Il est vraiment triste de penser que des centaines de plantes et de fleurs doivent se faner sans raison ou, pire encore, soient jetées pour rien. L’horticulteur Romain Banliat, qui s’est trouvé contraint de suspendre son activité selon les dispositions du gouvernement français pour lutter contre le Covid-19, a décidé non seulement de ne pas jeter ses plantes, mais aussi d’offrir ses services à la communauté.

Ces jours de quarantaine pour freiner la propagation exponentielle du coronavirus apparaissent difficiles pour beaucoup d’entre nous. Il y a de nombreux endroits où l’on ne peut pas sortir, sauf pour des besoins prouvés et essentiels, pour éviter les contacts sociaux et davantage d’infections. Dans une telle situation, chacun doit jouer son rôle, mais il n’est pas toujours facile de passer ses journées à l’intérieur des quatre murs de la maison avec sérénité.

Heureusement, de temps en temps, dans un océan de nouvelles négatives, il y en a aussi qui donnent le sourire. Antonio Munoz est l’une des nombreuses personnes qui se trouvent chez lui en quarantaine et, au troisième jour de son isolement, il n’a pu résister à l’envie de grignoter quelques Cheetos, ses chips préférées. Ne pouvant pas sortir à cause de l’isolement, il a trouvé un moyen ingénieux et amusant de se procurer son pêché mignon et de satisfaire ses envies.

Comment reproduire des pizzas et des fougasses aussi attrayantes ? Peut-être souhaitez-vous répéter cette «magie» afin de surprendre certains invités lors d’un apéritif ou d’un dîner. Nous vous suggérons tout d’abord de commencer par une recette de base de pizza que vous pouvez trouver sur n’importe quel site web et qui stimulera votre imagination ; puis de remplacer la garniture de la pizza choisie par d’autres ingrédients que vous utiliserez pour composer le motif. Par exemple, si vous suivez la recette d’une pizza margherita, remplacez la tomate et la mozzarella par d’autres ingrédients ; vous pouvez utiliser des poivrons, des olives, des herbes, des tomates séchées… et tout autre ingrédient que vous aimez !

Chaque jour, des milliers de sans-abri meurent en marge des rues dans le monde entier, n’ayant pas les moyens d’avoir un toit pour vivre et dormir et de se nourrir. Au fil des années, de nombreuses initiatives ont été prises en faveur de cette facette trop souvent ignorée de la société, comme celle de Geoffroy de Reynal, qui a construit de véritables igloos pliables et portables pour tous les sans-abri de Paris.

Il y a quelques années, après avoir travaillé à l’étranger, Geoffroy est revenu à Paris et a été stupéfait par le nombre de sans-abri dans la capitale. C’est alors que Geoffroy a commencé à réfléchir à la façon dont il pourrait aider ces personnes démunies et a décidé d’essayer de créer un abri léger, confortable et chaud.

Un test en mesure de fournir un diagnostic très rapide concernant le coronavirus. C’est la nouvelle annoncée par la US Food and Drug Administration, qui pourrait apporter une contribution significative à l’urgence mondiale causé par le Covid-19.

Les situations dans lesquelles se trouvent de nombreux hôpitaux à travers le monde en raison de l’augmentation exponentielle des contagions exigent, plus que jamais, des procédures rapides et simplifiées. C’est pourquoi le test développé par Cepheid est conçu pour fonctionner sur les plateformes GeneXpert du monde entier.

L’effort de mise en œuvre de mesures d’urgence comme celle-ci se traduit également par le fait que, pour être réalisé, ce test ne nécessite pas de formation du personnel médical. Il s’agit donc d’une contribution majeure pour soulager la pression de nombreux établissements de santé qui n’arrivent plus à faire face aux nombreux diagnostics à effectuer.

À l’heure où la pandémie du coronavirus se propage de manière exponentielle dans le monde, les experts et les scientifiques tentent de répondre à de nombreuses questions, afin de donner une image claire de la meilleure façon d’agir contre cet ennemi invisible. Il est crucial d’identifier le Covid-19 à temps, c’est pourquoi nous devons être attentifs aux signaux que nous envoie notre corps.

Environ trois mois après le début de l’épidémie, il est possible de dresser un tableau des symptômes et caractéristiques récurrents. Parmi ceux-ci, selon certains experts, on constate aussi la perte soudaine de l’odorat et du goût, une condition qui peut apparaître chez de nombreux patients, même sans avoir de la fièvre ou de la toux.

Le nombre de décès dus au coronavirus en Italie continue de grandir mais pourquoi est-il si élevé dans ce pays en particulier ? L’Italie compte désormais le plus grand nombre de décès au monde liés au COVID-19, la maladie causée par le nouveau coronavirus. Et le taux de mortalité du pays lié au COVID-19, environ 5%, est bien plus élevé que la moyenne mondiale de 3,4%, selon l’Organisation mondiale de la santé.

L’âge de la population pourrait être l’un des facteurs qui influent sur le taux de mortalité du pays : l’Italie a la population la plus âgée d’Europe, avec environ 23% des résidents âgés de 65 ans ou plus, selon le New York Times. L’âge moyen dans le pays est de 47,3 ans, contre 38,3 ans aux États-Unis, et de nombreux décès en Italie se situent dans une fourchette d’âge moyenne de 80 à 90 ans, une catégorie de population connue comme étant plus susceptible aux complications graves liées au COVID-19.

Ces derniers temps, le défi contre le coronavirus se transforme en une lutte contre le temps : au fil des jours, les contagions augmentent mais le nombre de places en soins intensifs dans les hôpitaux du monde entier diminue. Pour éviter ce qui semble inévitable, de nombreux médecins et professionnels recherchent désespérément des solutions alternatives pour pallier les manques. Au Canada, par exemple, le Dr Alain Gauthier, anesthésiste au Perth and Smiths Falls District Hospital en Ontario, a trouvé un moyen de transformer un simple respirateur en une machine capable de «faire respirer» au moins 9 personnes à la fois. Ainsi, grâce à une seule intuition, les places en thérapie intensive ont été doublées.

Les moments de grande difficulté, comme celui que le monde entier vit à cause de la crise du coronavirus, ne sont que l’occasion pour de nombreuses personnes de mettre leurs compétences au service de la communauté. C’est le cas de Cristian Fracassi, l’ingénieur qui a fait parler de lui dans le monde entier parce qu’il a réussi à imprimer en 3D, en quelques heures, des valves pour des respirateurs, un outil qui commençait à manquer à l’hôpital de Chiari, près de Brescia.

Après cette merveilleuse épreuve d’ingéniosité, Fracassi a continué à consacrer ses efforts et ses compétences pour lutter contre la pandémie. Cette fois, il l’a fait en transformant un objet d’usage courant en un précieux instrument hospitalier.

En plus d’infecter et, malheureusement, de faire perdre la vie à de nombreuses personnes, la pandémie de coronavirus a également des effets positifs dans des contextes qui changent de jour en jour pour prévenir la propagation de la maladie.

Nous ne pouvions pas penser autrement lorsque nous lisons que la réduction des voyages dans le monde – et donc la diminution de l’utilisation des voitures, des motos et des moyens de transport – a des effets incroyablement bénéfiques sur l’environnement et l’air que nous respirons. Mais il y a aussi une autre nouvelle qui vient d’Espagne et qui concerne de près les animaux. En particulier, les taureaux, acteurs et victimes d’un événement culturel aussi connu et décrié dans le monde entier : la corrida.