La disparition d’une partie de l’Antarctique est une question d’intérêt mondial. Cette région est extrêmement sensible aux changements climatiques, et les préoccupations concernant son effondrement sont liées au réchauffement global causé par l’augmentation des émissions de carbone. Cependant, si ces émissions étaient limitées, que se passerait-il ? Serait-ce suffisant pour éviter les conséquences ? Une étude a trouvé la réponse.